Les données chiffrées dans vos études de cas marketing

L’étude de cas est un contenu essentiel dans une stratégie inbound marketing. Elle raconte l’expérience d’un client ayant rencontré un problème et la manière dont votre entreprise l’a prodigieusement résolu.

L’objectif est de gagner la confiance de vos prospects en leur faisant projeter sur la réalisation de leur propre projet. Une étude de cas est un excellent support marketing qui vous aidera à mieux convaincre les prospects de travailler avec votre entreprise et faciliter la signature des contrats. Une étude de cas aura pour vocation de mettre en avant votre professionnalisme, votre savoir-faire, votre réactivité et de montrer tous les impacts positifs que votre entreprise a exercé sur un de ses clients. 

Les données chiffrées sont des éléments importants qu’il ne faut pas oublier de collecter si vous souhaitez avoir des études de cas pertinentes, convaincantes et accrocheuses !

Présenter des éléments quantitatifs

Les données chiffrées attirent l’œil dans une étude de cas. Ils sont à récupérer auprès de votre client. Ce peut être les résultats générés sur 1 mois, sur 3 mois, sur 6 mois, etc. Dans ce cas, les statistiques obtenues formeront la courbe de croissance des résultats.

Il est possible d’opter pour une approche très pragmatique, c’est-à-dire comparer les résultats chiffrés obtenus avec les différents partenaires d’affaires du client (entre autres vous) et faire par la suite un schéma AVANT/APRÈS

Exemple : Comparaison des nombres de leads et de RDV générés par le client AVANT et APRÈS votre collaboration. 

Présenter des éléments qualitatifs

A défaut de données chiffrées comme les CA, le ROI, il faut mentionner des éléments qualitatifs. Il s’agit de paramètres plus « humains » qui misent surtout sur l’émotion. 

Exemples : gain de temps, gain en efficacité,  l’apport de sérénité aux ressources humaines après avoir recouru à vos services, etc. 

Ce sont des éléments de rassurance tout aussi importants et déclencheurs d’achat. Grâce à ces derniers, vous montrez que la problématique du client (citée normalement au début de l’étude de cas) n’est plus un poids mental pour lui.